Les Sites De "Rencontre"

C’est fou ce que ces sites sont pratiques. Pour draguer. Je ne vous en ferais pas l’apologie car il y traine de tout. Mais on peut quelquefois décrocher la lune…
Je voudrais vous raconter quelques unes de mes meilleures « conquêtes » faites sur ces lieux de rendez-vous. Enfin si cela présente quelque intérêt…

Tiens, je commencerais bien par Fanny. Une petite blonde de 20 ans. Timide, si timide. Quelques photos sages, si sages. Un petit minois charmant, une poitrine semble-t-il assez attirante mais si bien cachée… Et puis une silhouette fine, des jambes interminables….
Les premiers contacts ont été laborieux et très progressifs. C’est que mes 40 ans de l’époque ne l’emballaient pas !! Mais j’ai su trouver les mots. Et avancer à pas comptés. J’en ai été récompensé. Un premier rendez-vous et je suis ravi. Son visage est si doux, ses yeux d’un bleu si intense. Elle semble me trouver à son gout. On parle de tout et de rien, j’arrive à parler aussi de mon attirance pour elle. Bref les choses avancent. Et au troisième rencart (ah oui, quand j’ai envie…je peux patienter) je parviens à l’emmener au cinéma. Je suis aux anges, elle arbore un décolleté qui me montre que je ne m’étais pas trompé : ses seins sont magnifiques. Enfin ce que j’en vois me donne envie d’y fourrer les mains, la langue … enfin d’en jouer sans compter.
Mon bras autour de son épaule, sa tête qui se pose contre moi…mmm les amis, délicieux moments que ceux qui amènent à conquérir une femme. Sans doute pensent-elle la même chose ? Mes petits bisous près de son oreille, sur sa joue, dans son cou… Fanny me laisse faire, elle doit rougir dans l’ombre de la salle obscure. Ses lêvres sont là, et ma bouche se pose enfin sur elles. Ses petites mains attnt ma tête, ma langue force un peu le passage et je sens la bouche s’entrouvrir. Délicieux ! un petit gout de noisette, une langue qui se dérobe puis vient au contact et finit par rouler et jouer avec la mienne.

Enivrant et très agréable ! Un baiser de cinéma au cinéma, qui dure, et qui contribue à faire abandonner toute défense à ma petite Fanny.
Ma main part à la conquête de ses épaules, de son dos, descend sur sa taille, remonte en effleurant le sein au passage. Quelle jolie bosse j’ai senti en passant… j’att sa nuque et notre baiser devient passionné. Je possède sa bouche, elle gémit de bonheur, j’imagine sa culotte trempée, j’imagine son émoi…
Cette fois je glisse vers le sein et le prend dans ma main, dommage que ce soutien-gorge… contournons…je redescends au bas du pull et me glisse dessous, quelques caresses sur le ventre plat, et je remonte pour trouver le soutien-gorge et passer ma main dans la corbeille… oh chérie qu’il est chaud et souple ce sein. Et volumineux…j’en fait la découverte et ma bichette est en pâmoison… Le téton s’agace de mes petits titillements et se dresse adorablement…Je soulève le pull, ma bouche saisit le petit chéri, le suce, ma langue roule autour, doucement… les mains de Fanny appuient sur ma tête, pas de doute, je suis dans le vrai avec mes caresses si douces…Je peux aller décrocher la bride dans son dos et profiter de ce trésor à bouche que veux tu ! En vous racontant tout ça je m’y vois encore, c’était délicieux…
Pourrai-je visiter sa culotte ? Ma main caresse son ventre depuis quelques minutes, passant de temps à autre juste sous la ceinture… j’ouvre le bouton et guette le refus… qui ne vient pas. Et ma main poursuit sa lente descente vers le minou que je convoite. Oh ! J’en suis loin… je viens juste de toucher le string, patience…pourtant ces jambes qui se sont déplacées se sont aussi légèrement entrouvertes… Alors je glisse encore plus bas, et sous le string, je perçois les premiers poils du pubis. Visiblement ma chérie ne s’épile pas…La moiteur que je commence à ressentir fait palpiter mon cœur et surtout… ma queue n’en peut plus de se trouver comprimée dans ce jean…
Sa bouche accueille toujours ma langue qui la fouille, sa langue ose maintenant lutter avec la mienne dans un combat sans vainqueur… comme j’aime ma main posée à plat sur sa foufoune, comme j’aime son ventre qui, loin de se dérober vient chercher la caresse.
Ma timide Fanny, comme elle est prête à se laisser faire ! Comme elle ouvre les jambes à ma caresse… Et ce doigts qui parcoure le sillon trempé, elle ne le refuse pas mais au contraire lui réclame d’avantage !!! Alors ce majeur, il se recourbe, caresse le minou, agace le clitoris… pénètre dans ce trou brulant…
Tantôt la bouche qui s’ouvre à l’approche de ma bouche, tantôt les seins dont les tétons sont fous de ma langue… Et ma main qui joue avec sa chatte, j’ai peur que les bruits venant de là n’attirent les regards des spectateurs pas si loin de nous… ma petite chérie se met à onduler sauvagement, elle s’active contre mes doigts agiles et Fanny se mord les lèvres en jouissant de bonheur…
J’ouvre –enfin- mon pantalon et sort ma queue reconnaissante d’être enfin libre. La main de Fanny est poussée et posée sur ma bite, elle s’en saisit et commence un délicieux apprentissage ! Je suis branlé avec douceur et … respect… Elle n’est visiblement pas une experte, ce que je savais déjà.
Comme je voudrais sa bouche … je tente de pousser la tête blonde vers ma queue si impatiente, et après quelques réticences, la chevelure d’or descend vers ma taille, puis plus bas, je laisse Fanny apprivoiser l’oiseau… je veux dire faire connaissance avec une belle bite… la mienne… enfin, je sens la bouche donner de petits bisous, puis lécher la hampe…et enfin prendre le mandrin entre ses lèvres en corolle… ! C’est chaud et doux, la langue vient faire doucement connaissance avec ma chair tendue…Je ne peux résister à poser ma main sur sa nuque et à pousser doucement, puis relâcher… Et le va-et-vient devient autonome, ma petite conquête me pompe gentiment… Des minutes de pur bonheur, j’ai fait le tour par ses fesses et ma main entre ses cuisses branle sa chatte du plus doucement que je peux…Je me hasarde jusqu’à la pastille une ou deux fois mais bat prudemment en retraite… La chérie n’est pas prête à tout…
Evaluation du risque… pas de voisins trop proches… j’entreprends d’enlever sa culotte, et avec son aide, le bout de tissu descend à ses chevilles…
Je la relève, la soulève et l’assois sur moi… Elle s’empale sur ma queue, je descend vite mon jean , relève bien la jupe et elle se retrouve confortablement enfichée sur ma queue.
Mes mains sous ses fesses la remontent, la relâchent, la remontent… elle est accrochée au fauteuil devant nous, et, un mordant un poing, elle jouit gentiment ma poupée… ! Croyez moi ou pas, la séance entière y passe et c’est lorsque je crois comprendre que le héros a sauvé la princesse (en fait j’ai bien oublié le film… bien sur) que j’accélère dans cette chatte adorable et lui envoie le meilleur de moi-même .
Ah Fanny, tu vois, tant d’années après… je n’ai rien oublié. Et je regrette toujours de ne jamais avoir répondu à tes appels et messages… Tu voulais un prince charmant, je n’étais tout au plus qu’un moment d’amour ! Je ne voulais pas te faire de mal… Et ma liste d’attente était encore longue…

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